Voilà plus de 30 ans que le mangaka Junji Itō raconte l’angoisse que l’humain peut ressentir face aux vastes étendues de l’espace et de l’océan.
Une angoisse directement empruntée à Lovecraft et au genre dont il est le plus célèbre représentant : l’horreur cosmique.
Comment Junji Itō a-t-il digéré puis transposé cette horreur dans ses œuvres ?
Comment représenter l’indicible en dessin, sur le papier d’une bande dessinée ?